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Communion solennelle ou fête de la jeunesse laïque

Droit à un petit chômage pour la Communion solennelle ou la fête de la jeunesse laïque ?

Le travailleur a le droit de s’absenter du travail avec maintien de sa rémunération le jour de la cérémonie de la communion solennelle ou de la fête laïque de l’un de ses enfants.

La 1ère communion ou fête du printemps ne donnent pas droit à un jour de petit chômage.

Ce droit est valable pour le jour de la cérémonie.  Vu que le jour de la cérémonie se déroule généralement un dimanche, un jour férié ou un jour d’inactivité, le travailleur a le droit de prendre son petit chômage le jour d’activité qui précède ou qui suit la cérémonie.

Le travailleur a le droit également de prendre ce jour de petit chômage pour ses beaux-enfants ou enfants adoptés ou reconnus.  Si le jour de la cérémonie plusieurs enfants (ou assimilés) du travailleur célèbrent leur communion solennelle ou jeunesse laïque, le travailleur n’aura droit qu’à un seul jour.

Le petit chômage permet au travailleur de s’absenter du travail avec maintien de sa rémunération, cela veut dire que si son contrat est suspendu pour, par exemple, une période de maladie, il ne pourra pas remplacer son jour de maladie par un petit chômage et être rémunéré.

Le travailleur doit également prévenir à l’avance son employeur de son absence.

Il est conseillé également de vérifier les conditions dérogatoires sectorielles.